- Année: 1998
- Studio: Tristar
Pictures
- Réalisation:
Roland Emmerich
- Acteurs: Matthew
Broderick, Jean Reno, Maria Pitillo
- Musique: David
Arnold
- Scenario:
Dean Devlin et Roland Emmerich
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- Disque:139
mins , letterboxed widescreen (a.r. 2.35:1), optimisation
16/9, simple face, RSDL double couche (changement
de couche dans le chapitre 13 à 1h04m09s), Boîtier
Amaray keep case
- Bonus: Commentaires
audio du superviseur effets visuels, biographies
acteurs/techniciens, Gallerie de photos, clip
vidéo 2 bandes annonce , 1 clips sur le making-of,
menus animés avec effets sonores, accès direct
(28 chapitres)
- Langues:
Anglais (DD 5.1 & 2.0)
- Sous-titres:
Anglais, Close Captioned
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Un
petit lézard de Polynésie mange un champignon de Paris
et se transforme en bête sanguinaire. Grand comme
l'Empire State building, sa mâchoire longue comme
un bus, il est con comme un âne. Plus efficace que
Jeremy Irons pour foutre le souk dans New York. Qui
a dit que la taille ne comptait pas?
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- L'histoire:
Suite aux essais nucléaires perpétrés par le gouvernement
français aux larges des côtes polynésiennes un banal
iguane génétiquement transformé se met en tête de
conquérir le nouveau monde. Après avoir traversé
bon nombre d'océans, détruisant tout sur son passage
il arrive à New York (ce serait pas lui qui a coulé
le gros bateau?). Parce qu'un iguane ne peut pas
chausser du 800, bon nombre de scientifiques et
de militaires se lancent à sa recherche. C'est mince
mais c'est tout.
- Le
film:
Descendu par la critique "all around the world"
lors de sa sortie en salle, ce film n'a pas été
le succès escompté par le tandem désormais célébré,
j'ai nommé Roland Emmerich et Dean Devlin. Le slogan
Plot Does Matter (le scénario compte) faisant référence
au teaser du film fut pris pour argent comptant
par le public. De l'avis de beaucoup ce film ne
fut pas le désastre tant attendu. Certes le scénario
ne fait pas dans la subtilité mais cela n'en fait
pas un mauvais film, en tous cas pas plus qu'un
autre. Je vous concède que l'histoire est remplie
de personnages peu crédibles mais je vous assure
que Godzilla l'est et le film s'appelle Godzilla
et pas "Reno et Broderick font du tourisme, Emmerich
est leur guide". Alors c'est quoi qui compte?
- Le
disque:
D'une qualité irréprochable. L'image ne souffre
d'aucune imperfection, les noirs (90% de scènes
de nuit) sont profonds et laissent apparaître tous
les détails de la bête. A la différence de bons
nombre de films à effets, celui là ne souffre pas
de son passage en vidéo. Le son n'est pas en reste.
La piste 5.1 est exemplaire (le film s'y prête).
Toutes les enceintes sont sollicités en particulier
lors de la poursuite des hélicoptères et dans la
séquence du Madison Square Garden. Le menu principal
est animé et c'est Godzilla qui tourne les pages.
Le commentaire du superviseur des effets spéciaux
est très intéressant. Si vous pleurez pas de rire
en voyant le film, jetez un oeil sur les bandes
annonce des Godzillaux originaux: Là y a fermeture
éclair. Le reste des bonus n'est pas aussi bon;
la partie Godzilla Takes New York est d'une inutilité
renversante. A noter que ce disque fut le premier
de ma collection.
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