- Année: 1999
- Studio: Fox
2000 Pictures
- Réalisation:
Steve Miner
- Acteurs: Bill
Pullman, Bridget Fonda, Oliver Platt, Brendan Gleeson
Musique: John Ottman
- Creature Effects:
Stan Winston Studio
- D.O.P.: Daryn
Okada
- Scenario:
David E.Kelley
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Disque:
88 mins, letterboxed widescreen (a.r. 2.35:1),
simple face, simple couche (le film en tient
déjà une bonne), Boîtier Amaray keep case
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Bonus:
Biographies acteurs/techniciens, 1 bande annonce,
3 spots télé, 1 making-of, menus animés à pleurer
de rire avec effets sonores , accès direct (24
chapitres)
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Langues:
Anglais (DD 5.1 & 2.0), Français (2.0)
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Sous
titres: Anglais, Espagnol
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Un
lac placide, des personnages insipides, des eaux pas
limpides, un crocodile stupide. A consommer avec modération:
je vous en verse une larme???
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- L'histoire:
L'histoire: Aprés l'attaque d'un plongeur dans les
eaux troubles d'un lac de la Nouvelle-Angleterre
par une mystérieuse créature, le shérif local, aidé
d'un garde forestier (Pullman), d'une paléontologue
(Fonda) et d'un excentrique aventurier (Platt),
joue le tanneur avec un crocodile de 10 valises
de long.
- Le
film:
Aïe! C'est caïman trés limite. Il fallait s'en douter
avec ce qu'il y a sur la jaquette du disque, je
cite: "This Year Anaconda!", "You'll spend as much
time laughing as you do screaming". A ça c'est sûr
tu rigoles! Tu sais pas trop pourquoi mais tu regardes
ton ticket de caisse et tu comprends vite. En fait,
hormis les basses considérations financières, je
ne sais pas trop pourquoi le film ne fonctionne
pas: peut être parce qu'on ne voit pas assez le
crocodile, parce que les personnages sont trop caricaturaux,
parce que les "blagues" du film sont au niveau de
la température d'un lac du Maine, parce que j'aime
pas les sacs à mains qui marchent. Non, je vois
pas. Je vais le regarder à nouveau et si je change
d'avis, je vous tiens au courant.
- Le
disque:Un
transfert non anamorphique de bonne tenue. Quelques
microtaches en début de films. Aucun défaut de compression,
de rares fourmillements sur les arriéres plans.
Un bon rendu des couleurs sur les plans larges du
lac. Les plans sous marins sont peu contrastés (c'est
génant lors des attaques du croco) mais un lac c'est
pas un bassin de SeaWorld. Rien à dire du côté de
la bande son: entendez par là que du son sort des
enceintes comme il se doit. La partition musicale
prédomine pour soutenir un récit et/ou une réalisation
sans surprise. Que ce soit en 5.1 ou en 2.0 les
effets de spatialisations se limitent à du droite/gauche.
Le LFE est sollicité lorsque apparait l'inévitable
hélicoptére et lorsque le crocodile enléve ses palmes.
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